Comme d’habitude, je partage avec vous mes dernières lectures US.
Si vous êtes, vous aussi, fans des auteurs américains, je vous conseille vivement d’aller jeter un œil sur Facebook au groupe Picabo River Book Club. Des passionné(e)s y partagent leurs dernières lectures, bien souvent des pépites de la littérature américaine. Une véritable source d’inspiration et l’occasion de découvrir de nouveaux auteurs et ouvrages.
Je reviens donc aux livres que j’ai pu lire récemment. Mes préférés sont Mascarade, Les oiseaux de malheur, Paperboy et Personne ne gagne. En ce qui concerne Ray Celestin, l’auteur de Mascarade, il a écrit un autre roman que je vous recommande : Carnaval. L’action se passe à La Nouvelle-Orléans et est inspirée de faits réels, un livre qui m’avait captivée au moment de sa lecture.
-Ray Celestin – Mascarade
Éditions Cherche Midi – environ 21 euros – 566 pages (existe en poche 9,50 euros)
Traduction Jean Szlamowicz
Enquête policière à Chicago à la fin des années 1920, à l’époque d’Al Capone, de la guerre des gangs et de la prohibition. Inspiré de faits réels. Un thriller passionnant.
Voir Mascarade ainsi que Carnaval (existe en poche) l’autre roman de Ray Celestin, inspiré aussi de faits réels et dont l’action se déroule à La Nouvelle-Orléans.
-Ross MacDonald – Les oiseaux de malheur
Éditions Gallmeister – 10,50 euros – 275 pages
Traduction Jacques Maillhos
Une intrigue captivante avec le détective Lew Archer. Roman noir paru en 1958 aux USA. Ross MacDonald est considéré comme un des plus grands auteurs américains de romans noirs. Il a inspiré James Crumley et James Ellroy.
-Maggie Nelson – Une partie rouge
Éditions du sous-sol – Environ 20 euros – 224 pages
Traduction Julia Deck
Un drame, une énigme jamais résolue. Maggie Nelson revient sur l’assassinat de sa tante en 1969 et du procès qui a suivi.
Voir Une partie rouge
-Jack Kerouac – Les clochards célestes
Éditions Folio Gallimard – 8,30 euros – 374 pages
Traduction Marc Saporta
Dans les années 1950, Kerouac raconte ses voyages, son quotidien, ses méditations. Un mode de vie, une philosophie, un roman autobiographique durant ses années “beatnik”.
-Michael Farris Smith – Nulle part sur la terre
Éditions Sonatine – 21 euros – 362 pages et en poche 10/18 à 8,10 euros
Traduction Pierre Demarthy
Un roman noir. Le titre d’origine “Desperation road- la route du désespoir” retranscrit l’ambiance. La vie est sombre pour les personnages principaux dont les destins se croisent. Ils se battent pour essayer de survivre et garder une lueur d’espoir.
-Jack Black – Personne ne gagne
Éditions Monsieur Toussaint Louverture – 11,50 euros – 470 pages
Traduction Jeanne Toulouse et Nicolas Vidalenc
Les mémoires de Jack Black (1871-1932), hors-la-loi, source d’inspiration pour Kerouac et Burroughs.
Un voleur épris de liberté qui raconte ses aventures et cambriolages avec précision. Parfois en cavale, parfois derrière les barreaux, il sait entretenir le suspens et décrit parfaitement son époque et ses péripéties.
Voir Personne ne gagne
-Pete Dexter – Paperboy
Éditions Points – 372 pages – 7,80 euros
Traduction Brice Matthieusement
Roman noir. En Floride, à la fin des années 1960, un shérif est retrouvé assassiné, un suspect est arrêté et condamné à la peine de mort. Une “bimbo” s’entiche du suspect, veut l’épouser et le faire libérer. Elle demande à deux jeunes journalistes de l’aider à essayer de prouver son innocence.
Voir Paperboy
-Ian Frazier – Grandes plaines
Éditions Hoëbeke – Étonnants voyageurs – 21 euros – 280 pages
Traduction Alexandra Maillard
Des anecdotes sur l’ouest américain, la région des grandes plaines et les amérindiens, en particulier Crazy Horse.
Voir Grandes plaines
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